Ah, les éternels garnements qui accrochent ce papier frétillant dans le dos le premier jour d’avril…
Ce jour là, cette année, nous étions déjà confinés.
C’était un mercredi.
Les classe qui d’ordinaire avaient arts plastiques découvraient dans leur cahier de texte numérique un sujet audacieusement préparé et intitulé « Poisson d’avril ».
Beaucoup ont pris à travers son titre cette consigne de travail comme une blague à laquelle il ne fallait pas répondre. D’autres ont joué le jeu et relevé le défi.
Comme les écailles du poisson, brilamment…
